TEXTE de Marie Noelle P.
Lorsque mes forces m’abandonnent, l’amour est venu frapper à ma porte
A la porte de mon cœur, à la porte de ma chambre, à la porte de ma vie
Vie où les choses anciennes sont passées et où toutes choses sont devenues nouvelles
Une nouvelle vie, pour un nouveau départ, dans une nouvelle habitation
Oui ! je le crois,
A la porte de mon cœur, j’ai ouvert la porte de mon cœur à l’amour
A la porte de ma chambre, j’ai ouvert la porte de ma chambre à la patience
A la porte de mon lit, j’ai ouvert la porte de mon lit à la bonté, à la dignité, au respect
L’amour n’est pas envieux
Il ne cherche pas à se faire valoir
Il ne s’enfle pas d’orgueil
Il ne fait rien d’inconvenant
Il ne cherche pas son propre intérêt
Il ne s’aigrit pas, il ne s’irrite pas contre les autres
Il ne trame pas le mal
L’injustice l’attriste, la vérité le réjouit.
En toute occasion, il excuse, il fait confiance, il espère, il persévère.
L’homme ! ses jours sont comme l’herbe, il fleurit comme la fleur des champs.
Lorsqu’un vent passe sur elle, elle n’est plus .
Et le lieu qu’elle occupait ne la reconnaît plus.
Mais l’amour n’a pas de fin, il est éternel.
A toutes ces petites mains d’amour qui réchauffe les cœurs,
Qui réchauffe les vies, qui réchauffe les mains en se donnant soi-même
De la joie à la triste
De la tristesse à la joie
Des cris aux pleurs
Des pleurs aux rires
Du rejet à l’acceptation
De la peur à la confiance
A ce don si merveilleux de soi,
Un grand merci à l’amour qui vit éternellement en nous et qui fait battre nos cœurs.